Tag: Edito

Vous le savez peut-être, notre Église, une parmi tant d’autres formant ensemble l’Église Universelle, se penche pendant trois ans sur sa mission, et sur les ministères qui sont nécessaires et utiles pour accomplir cette mission. En effet, en quelques décennies, le monde a peut-être vécu davantage de changements et d’évolutions que dans les derniers siècles ! Et l’Église Protestante Unie de France n’échappe pas à la sécularisation, aux questions d’autorité dans l’Église, favorisant certains abus, ou encore à la raréfaction des vocations de pasteur.e. Le métier de pasteur.e ne correspond plus du tout à celui qui existait il y a encore soixante ans. Continuer la lecture de « Soyons témoins… pour la mission ! »

Le 22 février prochain marquera l’entrée dans une quarantaine un peu spéciale… Il s’agit du mercredi des Cendres, début du Carême. Quarante jours, presque un mois et demi, une période scolaire entre deux temps de vacances… Pourquoi ? Pour se préparer à un événement à caractère particulier, pour nous chrétiennes, la fête la plus charismatique qui donne sens à notre foi : celle de la résurrection du Christ ! Continuer la lecture de « Sans caricature… Joyeux Carême ! »

À l’heure où j’écris, mes outils de travail sont bien mal en point : un cambrioleur a emporté mon ordinateur… Au delà de l’objet et de l’administratif, c’est toute la gestion de la perte de données qui se pose… Et qui se chiffre plus difficilement que ne le disent les factures demandées par les assurances. Les mots que j’avais jetés, un peu en désordre, pour cet édito par exemple, sont partis avec le voleur. Statistiquement, un cambriolage, surtout en rez-de-chaussée, arrive au moins une fois dans une vie. Ce n’est pas si rare. Pourtant, le traumatisme psychologique engendré est toujours aussi fort, et aujourd’hui plutôt bien documenté. Continuer la lecture de « Le voleur, le pasteur… et Jésus ! »

Dans la culture protestante française, le passage du mois d’octobre au mois de novembre est davantage synonyme de « Réformation » que de « Toussaint ». Est-ce pour nous opposer à nos sœurs et frères catholiques romains, qui fêtent un grand nombre de saints, ce qui est parfois mal compris dans nos paroisses ? D’ailleurs, d’où vient la fête de la Toussaint ? Comme beaucoup de fêtes « tardives » ancrées dans les traditions catholiques, il s’agit d’un syncrétisme.

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